Alors, aujourd’ hui j’en veux énormément aux investisseurs fortunés pour leur égoïsme, leur cupidité et leur bêtise et aux politiciens de tous bords pour leur incurie et leur impéritie parce que c’est à eux que les Durbuysiens ont confié le pourvoir de faire vivre ou mourir leur ville et qu’ils bradent et molestent cette confiance sacrée.
Pour satisfaire leurs caprices mégalomaniaques ou leur paresse intellectuelle qui préservera leur bonne conscience, ils détruisent l’accomplissement des rêves de millions d’enfants, des leurs aussi par la même occasion, pour y substituer un tourisme de masse dégradant, abêtissant, ou pour échafauder des lieux de vie concentrationnaires et déshumanisés. Tout cela parce qu’il se gargarisent de l’incommensurable prétention de croire qu’ils sont les gérants omnipotents du bonheur des autres. Ce qui est, à mon humble avis, une outrageante insulte à l’intelligence humaine et un acte de pure colonisation intellectuelle et morale.
Il faut donc, à Durbuy comme ailleurs, que les investisseurs et les détenteurs de pouvoirs de tous bords ouvrent les yeux et comprennent que les temps des colonisations sont révolus. Quel que soit le lieu sur terre, quelle que soit l’époque, quels que soient les hommes, quels que soient les domaines, absolument aucune colonisation de quelque nature que ce soit n’a eu d’issue qui n’ait été remise en question. Aucune conquête territoriale violente n’a survécu, l’inquisition a fini par faire long feu, le Grand Empire Germanique n’a pas résisté, pas plus que la Grande Russie, les goulags n’ont jamais réduit tous les hommes libres, on refait les procès des grands colonisateurs, on rejuge Léopold II, on relit l’histoire etc.
Quoi qu’en pensent et en disent les uns et les autres, Durbuy ne fera pas exception. Si une cohabitation entre les deux mondes qui se la disputent n’est pas trouvée dans une collaboration concertée, volontaire et équilibrée, il est absolument, absolument certain que l’histoire jugera les uns comme les autres comme les fossoyeurs de l’écrin de la plus petite ville du monde.
Puissent les divers intervenants avoir le courage de s’en rendre compte et avoir la volonté d’y remédier.
Je ne suis personne à leurs yeux mais il était de mon devoir de le leur rappeler.
Pour satisfaire leurs caprices mégalomaniaques ou leur paresse intellectuelle qui préservera leur bonne conscience, ils détruisent l’accomplissement des rêves de millions d’enfants, des leurs aussi par la même occasion, pour y substituer un tourisme de masse dégradant, abêtissant, ou pour échafauder des lieux de vie concentrationnaires et déshumanisés. Tout cela parce qu’il se gargarisent de l’incommensurable prétention de croire qu’ils sont les gérants omnipotents du bonheur des autres. Ce qui est, à mon humble avis, une outrageante insulte à l’intelligence humaine et un acte de pure colonisation intellectuelle et morale.
Il faut donc, à Durbuy comme ailleurs, que les investisseurs et les détenteurs de pouvoirs de tous bords ouvrent les yeux et comprennent que les temps des colonisations sont révolus. Quel que soit le lieu sur terre, quelle que soit l’époque, quels que soient les hommes, quels que soient les domaines, absolument aucune colonisation de quelque nature que ce soit n’a eu d’issue qui n’ait été remise en question. Aucune conquête territoriale violente n’a survécu, l’inquisition a fini par faire long feu, le Grand Empire Germanique n’a pas résisté, pas plus que la Grande Russie, les goulags n’ont jamais réduit tous les hommes libres, on refait les procès des grands colonisateurs, on rejuge Léopold II, on relit l’histoire etc.
Quoi qu’en pensent et en disent les uns et les autres, Durbuy ne fera pas exception. Si une cohabitation entre les deux mondes qui se la disputent n’est pas trouvée dans une collaboration concertée, volontaire et équilibrée, il est absolument, absolument certain que l’histoire jugera les uns comme les autres comme les fossoyeurs de l’écrin de la plus petite ville du monde.
Puissent les divers intervenants avoir le courage de s’en rendre compte et avoir la volonté d’y remédier.
Je ne suis personne à leurs yeux mais il était de mon devoir de le leur rappeler.
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